Je suis peut-être très à la bourre sur ce coup là – 666-Pack a été publié fin janvier 2019 – mais j’ai une bonne raison pour ne parler que maintenant de ce disque : ce matin j’ai décidé de faire un peu de ménage et de passer l’aspirateur dans mon antre de vieil ours solitaire donc il me fallait trouver la bande-son idéal pour cette noble activité dominicale.
Placé bien en évidence sur la pochette du disque un autocollant proclame « for fans of : Municipal Waste, Toxic Holocaust, Suicidal Tendencies » et cette tentative subtilement ajustée de marketing musical touche dans le mille tant le troisième album d’Insanity Alert continue plus de trente ans après de faire perdurer l’esprit thrash crossover à grands coups de speederies, de mosh parts, de paroles débiles, de clins d’œil gore, d’apologie du skate et du houblon – en gros 666-Pack est aussi rétrograde et passéiste que je suis vieux et c’est ça qui est bon, ce sentiment qu’être en retard ne signifie finalement plus rien.
Placé bien en évidence sur la pochette du disque un autocollant proclame « for fans of : Municipal Waste, Toxic Holocaust, Suicidal Tendencies » et cette tentative subtilement ajustée de marketing musical touche dans le mille tant le troisième album d’Insanity Alert continue plus de trente ans après de faire perdurer l’esprit thrash crossover à grands coups de speederies, de mosh parts, de paroles débiles, de clins d’œil gore, d’apologie du skate et du houblon – en gros 666-Pack est aussi rétrograde et passéiste que je suis vieux et c’est ça qui est bon, ce sentiment qu’être en retard ne signifie finalement plus rien.