Jusqu’ici j’avais aimé et même défendu HUATA mais avec Lux Initiatrix Terrae, dernier – et posthume – album du groupe publié à la fin de l’année 2018 je n’en dirais pas autant… du doom 70’s liquéfié en jus de loukoum, du chant systématiquement passé à l’aspirateur à hélium, de la grandiloquence à l’échelle d’une cathédrale de chantilly, des senteurs d’encens d’un capiteux écœurant, une perfection dénuée de toute âme et de la liturgie à tous les étages : personnellement j’ai passé l’âge de la crise de foi(e) depuis longtemps.