Double programme
au Périscope pour POLYMORPHIE qui a interprété – avec des
line-up différents – deux pièces de son répertoire ayant récemment fait l’objet
d’une réédition (des beaux livres-disques chez La Compagnie 4000). Je connaissais
déjà Cellule (2014) et j’ai été tout
autant secoué qu’il y a quelques années par la force de la musique et de textes tournant
autour de l’enfermement et du monde carcéral. J’ai par contre été moins touché
par Claire Vénus (2020), déambulation poétique sur la passion et les sentiments amoureux. Une
séance de rattrapage semble s’imposer…