Les Berlinois de DIÄT avaient fait leur petit effet avec Positive Energy, un premier album sympathique publié en 2015 ; quatre ans plus tard le post punk / etc. du groupe a perdu toute sa juvénilité éruptive et toute sa fraicheur : aussi bien foutu mais aussi stéréotypé et aussi rigide qu’un énième disque de Frustration, Positive Disintegration ne porte que trop bien son nom, celui d’un éternel post modernisme sans signification. Dommage.